Sarah s’est lancée en octobre en tant qu’autoentrepreneur dans le domaine esthétique. Elle propose ses services d’onglerie, d’extension de cils et de blanchiment dentaire sous l’enseigne « Sass Beauty ». Elle commercialise, depuis peu, sa propre marque de cils « Sass Beauty Lashes » à des professionnels de l’extension de cils, et travaille donc avec ses propres produits.
Peux-tu nous expliquer ton projet ?
J’ai toujours voulu travailler dans le domaine esthétique mais le monde des filles ne m’intéressait pas trop. Au final, j’ai passé mon bac commerce et par la suite j’ai payé mes formations pour pouvoir me former hors cadre scolaire. Je suis donc formée pour l’onglerie, l’extension de cils et le blanchiment dentaire. Je me suis entraînée pendant une bonne année sur l’extension de cils. J’ai voulu créer par la suite ma propre marque de cils « Sass Beauty Lashes », j’ai cherché pendant plus d’une année le bon fournisseur pour pouvoir confectionner mon packaging, une fois trouvé je l’ai enfin commercialisé fin novembre. Je travaille du coup avec mes produits et je les commercialise pour les professionnels.
Qu’est ce qui t’a motivé à te lancer ?
Ça fait 4 ans que je suis moi-même cliente pour l’extension de cils, j’adorais ça alors je me suis dit : pourquoi pas me lancer ? Je voulais être mon propre patron, faire mes propres choix et décider seule de ce que j’avais envie de faire.
Pour toi, qu’est-ce que l’entrepreneuriat en 1 mot ?
Libre.
Comment Entreprendre Ensemble t’a accompagné ?
Entreprendre Ensemble m’a contacté lorsque je me suis lancée en autoentrepreneur. On m’a expliqué les démarches à suivre pour pouvoir bénéficier du dispositif CLAP. Je suis ensuite passée devant la commission.
Comment la subvention obtenue au CLAP t’a aidé ?
Cette subvention va surtout servir à financer une partie de mon stock de produits pour pouvoir les revendre mais aussi travailler avec.
Quel conseil donnerais- tu à quelqu’un qui veut se lancer ?
Etre sur avant de se lancer, parce qu’on pense que c’est simple, mais il y a des difficultés. On n’a pas de salaire fixe. Il faut essayer de trouver sa clientèle, cibler un point de clientèle. Et surtout être sûr que ça peut marcher avant de se lancer et ne pas se lancer du jour au lendemain. Pour se lancer au début, je pense qu’il faut avoir un salaire complémentaire à côté. Mais ça vaut le coup de se lancer parce qu’après on est libre.
Sarah s’est lancée en octobre en tant qu’autoentrepreneur dans le domaine esthétique. Elle propose ses services d’onglerie, d’extension de cils et de blanchiment dentaire sous l’enseigne « Sass Beauty ». Elle commercialise, depuis peu, sa propre marque de cils « Sass Beauty Lashes » à des professionnels de l’extension de cils, et travaille donc avec ses propres produits.
Peux-tu nous expliquer ton projet ?
J’ai toujours voulu travailler dans le domaine esthétique mais le monde des filles ne m’intéressait pas trop. Au final, j’ai passé mon bac commerce et par la suite j’ai payé mes formations pour pouvoir me former hors cadre scolaire. Je suis donc formée pour l’onglerie, l’extension de cils et le blanchiment dentaire. Je me suis entraînée pendant une bonne année sur l’extension de cils. J’ai voulu créer par la suite ma propre marque de cils « Sass Beauty Lashes », j’ai cherché pendant plus d’une année le bon fournisseur pour pouvoir confectionner mon packaging, une fois trouvé je l’ai enfin commercialisé fin novembre. Je travaille du coup avec mes produits et je les commercialise pour les professionnels.
Qu’est ce qui t’a motivé à te lancer ?
Ça fait 4 ans que je suis moi-même cliente pour l’extension de cils, j’adorais ça alors je me suis dit : pourquoi pas me lancer ? Je voulais être mon propre patron, faire mes propres choix et décider seule de ce que j’avais envie de faire.
Pour toi, qu’est-ce que l’entrepreneuriat en 1 mot ?
Libre.
Comment Entreprendre Ensemble t’a accompagné ?
Entreprendre Ensemble m’a contacté lorsque je me suis lancée en autoentrepreneur. On m’a expliqué les démarches à suivre pour pouvoir bénéficier du dispositif CLAP. Je suis ensuite passée devant la commission.
Comment la subvention obtenue au CLAP t’a aidé ?
Cette subvention va surtout servir à financer une partie de mon stock de produits pour pouvoir les revendre mais aussi travailler avec.
Quel conseil donnerais- tu à quelqu’un qui veut se lancer ?
Etre sur avant de se lancer, parce qu’on pense que c’est simple, mais il y a des difficultés. On n’a pas de salaire fixe. Il faut essayer de trouver sa clientèle, cibler un point de clientèle. Et surtout être sûr que ça peut marcher avant de se lancer et ne pas se lancer du jour au lendemain. Pour se lancer au début, je pense qu’il faut avoir un salaire complémentaire à côté. Mais ça vaut le coup de se lancer parce qu’après on est libre.