Anais : gérante du Beauty truck, bar à ongle ambulant
Publié le : 21/01/2020
Anais : gérante du Beauty truck, bar à ongle ambulant
Publié le : 21/01/2020


Anaïs créé le « Beauty Truck ». Un concept innovant : c’est un salon de beauté ambulant, où il sera possible de faire ses ongles, des tatouages temporaires, des extensions de cils… Anaïs a pu bénéficier de l’aide du CLAP.


Peux-tu nous expliquer ton projet ?
Je vais créer un beauty truck avec bar à ongles dans une caravane des années 70, où je proposerai également des extensions de cils, des tresses, des tresses africaines, ainsi que de la vente de vêtements et accessoires. Surtout, tous les produits utilisés seront vegan et non testés sur les animaux.


Qu’est ce qui t’a motivée à te lancer ?
Mon entourage. En fait, le beauty truck vient d’un rêve que j’ai fait. Et quand je me suis réveillée de ce rêve, je l’ai raconté à une de mes meilleures amies qui a trouvé l’idée géniale. C’est un défi un peu fou car je n’étais pas du tout prothésiste ongulaire. J’ai acheté les produits de manucure, et je me suis dit : « c’est pas trop mal ». J’ai alors acheté ma caravane, et ensuite, j’ai passé la formation de prothésiste ongulaire.


Pour toi, qu’est-ce que l’entrepreneuriat en 1 mot ?
Bipolarité. C’est ce que je vis.


Comment Entreprendre Ensemble t’a accompagnée ?
En fait, ma meilleure amie travaille à Entreprendre Ensemble. C’est elle qui m’a dit d’aller voir Entreprendre Ensemble et que je pouvais bénéficier du CLAP. Et finalement, tout s’est fait très rapidement. Je suis passée devant la commission du CLAP et mon projet a été retenu.


Comment la subvention obtenue au CLAP t’a aidée ?
Elle va m’aider à faire le flocage de la caravane. Grâce à Entreprendre Ensemble, je vais pouvoir faire une belle caravane avec de la belle décoration dedans.


Quel conseil donnerais-tu à quelqu’un qui veut se lancer ?
Savoir ignorer tous ceux qui ne croient pas en votre projet. Il faut positiver un maximum, et ne pas parler à ceux qui voudraient vous démoraliser. Il faut se lancer avant qu’il ne soit trop tard car il vaut mieux avoir des remords que des regrets.

 

Anaïs créé le « Beauty Truck ». Un concept innovant : c’est un salon de beauté ambulant, où il sera possible de faire ses ongles, des tatouages temporaires, des extensions de cils… Anaïs a pu bénéficier de l’aide du CLAP.


Peux-tu nous expliquer ton projet ?
Je vais créer un beauty truck avec bar à ongles dans une caravane des années 70, où je proposerai également des extensions de cils, des tresses, des tresses africaines, ainsi que de la vente de vêtements et accessoires. Surtout, tous les produits utilisés seront vegan et non testés sur les animaux.


Qu’est ce qui t’a motivée à te lancer ?
Mon entourage. En fait, le beauty truck vient d’un rêve que j’ai fait. Et quand je me suis réveillée de ce rêve, je l’ai raconté à une de mes meilleures amies qui a trouvé l’idée géniale. C’est un défi un peu fou car je n’étais pas du tout prothésiste ongulaire. J’ai acheté les produits de manucure, et je me suis dit : « c’est pas trop mal ». J’ai alors acheté ma caravane, et ensuite, j’ai passé la formation de prothésiste ongulaire.


Pour toi, qu’est-ce que l’entrepreneuriat en 1 mot ?
Bipolarité. C’est ce que je vis.


Comment Entreprendre Ensemble t’a accompagnée ?
En fait, ma meilleure amie travaille à Entreprendre Ensemble. C’est elle qui m’a dit d’aller voir Entreprendre Ensemble et que je pouvais bénéficier du CLAP. Et finalement, tout s’est fait très rapidement. Je suis passée devant la commission du CLAP et mon projet a été retenu.


Comment la subvention obtenue au CLAP t’a aidée ?
Elle va m’aider à faire le flocage de la caravane. Grâce à Entreprendre Ensemble, je vais pouvoir faire une belle caravane avec de la belle décoration dedans.


Quel conseil donnerais-tu à quelqu’un qui veut se lancer ?
Savoir ignorer tous ceux qui ne croient pas en votre projet. Il faut positiver un maximum, et ne pas parler à ceux qui voudraient vous démoraliser. Il faut se lancer avant qu’il ne soit trop tard car il vaut mieux avoir des remords que des regrets.