Portrait de Clementine : traductrice indépendante
Publié le : 14/12/2018
Portrait de Clementine : traductrice indépendante
Publié le : 14/12/2018


Clémentine Carriot est une jeune traductrice de l’anglais et l’espagnol vers le français. Elle s’est lancée dans l’aventure entrepreneuriale peu de temps après avoir obtenu son master en traduction. Elle a été accompagnée par le Département Entrepreneuriat d’Entreprendre Ensemble pour son projet de création d’activité. Elle est également passée en commission CLAP et a obtenu une subvention pour pouvoir se lancer.

Peux-tu nous expliquer ton projet ?

Mon projet était d’être traductrice indépendante. Je m’étais déjà enregistrée en micro-entrepreneuse, je cherchais surtout à développer ma structure pour pouvoir trouver de nouveaux clients et en particulier des clients directs. Je suis traductrice de l’anglais et de l’espagnol vers le français.

Qu’est-ce qui t’a motivé à te lancer ?

Dans le domaine de la traduction, la majorité des traducteurs sont des traducteurs indépendants. C’était donc la suite logique par rapport à mes études puisque j’ai fait un master en traduction.

En un mot, qu’est-ce que l’entrepreneuriat pour toi ?

Oser.    

Comment Entreprendre Ensemble t’a accompagné ?

C’est ma conseillère en antenne qui m’a mise en relation avec le Département Entrepreneuriat. J’ai eu plusieurs rendez-vous afin, notamment, d’expliquer mon projet. L’accompagnement m’a servi à bien définir mon projet, on a fait ensemble un petit dossier pour formaliser mon projet. Et ensuite, je suis passée en commission CLAP pour obtenir une subvention.

Comment la subvention obtenue au CLAP t’a aidé ?

La subvention va me permettre de faire des dépenses en communication, des cartes de visite, des flyers pour me faire connaitre au maximum. Le but pour moi c’est de développer une clientèle plus directe donc plus locale. Mais la subvention me servira également pour l’achat d’un logiciel indispensable de traduction qui coûte un peu cher.

Quel conseil donnerais-tu à quelqu’un qui veut se lancer ?

De le faire. Moi ça s’est bien passée puisque je n’avais pas beaucoup de dépenses à faire, pas d’investissement, je n’ai pas besoin de local. Mais si la personne est très motivée et qu’elle peut se faire accompagner, c’est une bonne idée de se lancer. De toute façon si on ne se lance pas on ne sait pas si on va réussir.

Clémentine Carriot est une jeune traductrice de l’anglais et l’espagnol vers le français. Elle s’est lancée dans l’aventure entrepreneuriale peu de temps après avoir obtenu son master en traduction. Elle a été accompagnée par le Département Entrepreneuriat d’Entreprendre Ensemble pour son projet de création d’activité. Elle est également passée en commission CLAP et a obtenu une subvention pour pouvoir se lancer.

Peux-tu nous expliquer ton projet ?

Mon projet était d’être traductrice indépendante. Je m’étais déjà enregistrée en micro-entrepreneuse, je cherchais surtout à développer ma structure pour pouvoir trouver de nouveaux clients et en particulier des clients directs. Je suis traductrice de l’anglais et de l’espagnol vers le français.

Qu’est-ce qui t’a motivé à te lancer ?

Dans le domaine de la traduction, la majorité des traducteurs sont des traducteurs indépendants. C’était donc la suite logique par rapport à mes études puisque j’ai fait un master en traduction.

En un mot, qu’est-ce que l’entrepreneuriat pour toi ?

Oser.    

Comment Entreprendre Ensemble t’a accompagné ?

C’est ma conseillère en antenne qui m’a mise en relation avec le Département Entrepreneuriat. J’ai eu plusieurs rendez-vous afin, notamment, d’expliquer mon projet. L’accompagnement m’a servi à bien définir mon projet, on a fait ensemble un petit dossier pour formaliser mon projet. Et ensuite, je suis passée en commission CLAP pour obtenir une subvention.

Comment la subvention obtenue au CLAP t’a aidé ?

La subvention va me permettre de faire des dépenses en communication, des cartes de visite, des flyers pour me faire connaitre au maximum. Le but pour moi c’est de développer une clientèle plus directe donc plus locale. Mais la subvention me servira également pour l’achat d’un logiciel indispensable de traduction qui coûte un peu cher.

Quel conseil donnerais-tu à quelqu’un qui veut se lancer ?

De le faire. Moi ça s’est bien passée puisque je n’avais pas beaucoup de dépenses à faire, pas d’investissement, je n’ai pas besoin de local. Mais si la personne est très motivée et qu’elle peut se faire accompagner, c’est une bonne idée de se lancer. De toute façon si on ne se lance pas on ne sait pas si on va réussir.