Mélissa, peux –tu te présenter et présenter ton activité ?
J’ai créé mon entreprise fin septembre. Son développement est encore en cours, je fais les choses petit à petit. J’ai décidé d’être diététicienne libérale à domicile. J’ai déjà des patients potentiels mais je n’ai pas encore fait de consultation. Pour obtenir mon diplôme de diététicienne, j’ai fait un DUT génie-biologique option diététique. J’ai obtenu mon diplôme en septembre et je me suis lancée dès l’obtention de ce dernier. C’est aussi pour cela que c’est compliqué de développer mon activité, d’autant plus qu’à mon âge c’est très rare que l’on soit libérale sans avoir de nombreuses années d’expériences. C’est un challenge que je me suis lancée. J’ai fait des remplacements dans des structures hospitalières. Mon objectif c’est de suivre les patients à long terme pour toutes problématiques, que ce soit pour des pathologies, pour de l’esthétique, pour des pertes ou prises de poids, je cible vraiment tout le monde.
Pourquoi avoir fait le choix de devenir entrepreneure à 20 ans ?
J’avais vraiment envie d’être ma propre patronne, d’avoir mon entreprise et de mettre en avant de métier de diététicien. Je me donne le temps, même si ça ne se développe pas tout de suite, c’est bien d’avoir créé cette entreprise car je peux l’utiliser à bon escient, je peux faire des consultations extérieures en tant que prestataire, on peut m’embaucher pour des ateliers diététiques par exemple.
Penses-tu ouvrir ton propre cabinet un jour ?
Oui. Pour le moment non, car il me manque des fonds, et je veux découvrir le métier à domicile, mais d’ici deux-trois ans j’espère pouvoir ouvrir mon cabinet, même si je continuerais le domicile.
Pourquoi avoir choisi le métier de diététicienne ?
J’ai toujours voulu travailler dans le domaine du médico-social, à la base je voulais être médecin mais il y a énormément d’années d’étude, par rapport à la vie que je voulais mener ce n’était pas vraiment compatible. J’ai fait des stages en laboratoire d’analyses médicales car je voulais faire technicienne de laboratoire, j’ai fait le DUT génie-biologique qui comporte un tronc commun pour les techniciens de laboratoire, les diététiciens et le secteur agro-alimentaire. Et je me suis rendue compte qu’en tant que technicienne de laboratoire, il n’y avait pas ce contact avec les patients. Quand j’ai découvert le métier de diététicienne, j’ai tout de suite était passionnée, déjà de base je fais beaucoup de sport, je cuisine, je fais attention à mon alimentation.
Comment le clap t’a aidé ?
Le CLAP m’a beaucoup aidé. Je n’ai pas encore terminé l’ensemble des achats mais j’ai déjà pu acquérir mon matériel de base, ce qui était vital pour me lancer.
Peux-tu donner des conseils aux personnes qui souhaitent se lancer ?
Il faut se lancer, il faut foncer. Quand on a envie de faire quelque chose, il faut aller au bout. Même si ça ne fonctionne pas, ce n’est pas grave, on peut toujours rebondir.
Mélissa, peux –tu te présenter et présenter ton activité ?
J’ai créé mon entreprise fin septembre. Son développement est encore en cours, je fais les choses petit à petit. J’ai décidé d’être diététicienne libérale à domicile. J’ai déjà des patients potentiels mais je n’ai pas encore fait de consultation. Pour obtenir mon diplôme de diététicienne, j’ai fait un DUT génie-biologique option diététique. J’ai obtenu mon diplôme en septembre et je me suis lancée dès l’obtention de ce dernier. C’est aussi pour cela que c’est compliqué de développer mon activité, d’autant plus qu’à mon âge c’est très rare que l’on soit libérale sans avoir de nombreuses années d’expériences. C’est un challenge que je me suis lancée. J’ai fait des remplacements dans des structures hospitalières. Mon objectif c’est de suivre les patients à long terme pour toutes problématiques, que ce soit pour des pathologies, pour de l’esthétique, pour des pertes ou prises de poids, je cible vraiment tout le monde.
Pourquoi avoir fait le choix de devenir entrepreneure à 20 ans ?
J’avais vraiment envie d’être ma propre patronne, d’avoir mon entreprise et de mettre en avant de métier de diététicien. Je me donne le temps, même si ça ne se développe pas tout de suite, c’est bien d’avoir créé cette entreprise car je peux l’utiliser à bon escient, je peux faire des consultations extérieures en tant que prestataire, on peut m’embaucher pour des ateliers diététiques par exemple.
Penses-tu ouvrir ton propre cabinet un jour ?
Oui. Pour le moment non, car il me manque des fonds, et je veux découvrir le métier à domicile, mais d’ici deux-trois ans j’espère pouvoir ouvrir mon cabinet, même si je continuerais le domicile.
Pourquoi avoir choisi le métier de diététicienne ?
J’ai toujours voulu travailler dans le domaine du médico-social, à la base je voulais être médecin mais il y a énormément d’années d’étude, par rapport à la vie que je voulais mener ce n’était pas vraiment compatible. J’ai fait des stages en laboratoire d’analyses médicales car je voulais faire technicienne de laboratoire, j’ai fait le DUT génie-biologique qui comporte un tronc commun pour les techniciens de laboratoire, les diététiciens et le secteur agro-alimentaire. Et je me suis rendue compte qu’en tant que technicienne de laboratoire, il n’y avait pas ce contact avec les patients. Quand j’ai découvert le métier de diététicienne, j’ai tout de suite était passionnée, déjà de base je fais beaucoup de sport, je cuisine, je fais attention à mon alimentation.
Comment le clap t’a aidé ?
Le CLAP m’a beaucoup aidé. Je n’ai pas encore terminé l’ensemble des achats mais j’ai déjà pu acquérir mon matériel de base, ce qui était vital pour me lancer.
Peux-tu donner des conseils aux personnes qui souhaitent se lancer ?
Il faut se lancer, il faut foncer. Quand on a envie de faire quelque chose, il faut aller au bout. Même si ça ne fonctionne pas, ce n’est pas grave, on peut toujours rebondir.