Portrait de Charles et Quentin Totain : des entrepreneurs culinaires
Publié le : 14/11/2018
Portrait de Charles et Quentin Totain : des entrepreneurs culinaires
Publié le : 14/11/2018


Quentin et Charles Totain ont intégré la GJ respectivement en janvier et février 2018, avec dans leur tête le projet de devenir "Confituriers" et de créer leur entreprise.

Quentin a d'ailleurs proposé aux jeunes de sa promotion et ses conseillers une présentation de ses propres productions en organisant pour la clôture du sas d'intégration un petit déjeuner dégustation.

La Garantie Jeunes a aidé ses jeunes à prendre confiance en eux, à croire en leur projet et à anticiper l'investissement financier que pourrait représenter une création de leur propre activité. Mis en relation avec le département Entrepreneuriat pendant leur accompagnement Garantie Jeunes pour avancer sur la concrétisation de leur projet, ils ont pour objectif de produire et vendre leurs confitures sur les marchés locaux et via internet, et la mise en place d'un service de livraison. Leur entreprise "Le grenier aux confitures" devrait voir le jour courant janvier 2019 et les commandes devraient être possibles début février.

L'accompagnement du département Entrepreneuriat d’Entreprendre Ensemble leur a également permis de passer devant la comission CLAP et d'obtenir une subvention pour lancer leur activité.

 

                Pouvez-vous nous expliquer votre projet ?

Charles : Notre projet est de faire une confiturerie artisanale. On veut vendre nos confitures sur les marchés et, d’ici trois ans, ouvrir une boutique en centre-ville de Dunkerque.

Quentin : On veut faire des confitures dans un laboratoire à la maison. On a remarqué que les gens aimaient de plus en plus le fait maison par rapport à l’industriel. Donc on a décidé de se lancer là-dedans et de faire nos confitures nous-même.

                Qu’est-ce qui vous a motivé à vous lancer ?

Quentin : Nos grands-parents et notre mère. Notre arrière-grand-mère a appris à notre grand-père comment faire des confitures. Et notre grand-père l’a appris à notre mère et à moi-même, il nous a transmis le savoir. Eux en faisaient pour le plaisir, pour nous c’est devenu un plaisir mais aussi l’envie d’en faire notre métier. Nos grands-parents sont décédés, donc c’est un hommage qu’on leur rend. C’est un héritage familial qu’on va garder et qu’on va continuer à perpétuer.

Charles : C’est par passion et par envie aussi de faire plaisir aux gens, et leur faire découvrir de nouvelles saveurs, parce que tout le monde ne mange pas de confiture artisanale.

                Pour vous, qu’est-ce que l’entrepreneuriat en 1 mot ?

Charles : Le courage.

Quentin : La détermination.

                Comment Entreprendre Ensemble vous a accompagné ?

Charles : Entreprendre Ensemble nous a très bien accompagnés. On a eu plusieurs rendez-vous, ils nous ont bien aidés, notamment faire le dossier CLAP puisqu’on est passé en commission CLAP. On a beaucoup appris sur nous, à se découvrir par rapport à l’entrepreneuriat, on est fait pour ça je pense.

Quentin : L’accompagnement d’Entreprendre Ensemble a été intensif. On a eu énormément de rendez-vous. On ne serait pas passé par Entreprendre Ensemble on n’en serait pas là. Le dossier à la CMA est déjà fait et prêt, mais rien ne serait encore fait si jamais nous n’étions pas passés par Entreprendre Ensemble. Ça a vraiment lancé le projet, il n’y a plus qu’à le concrétiser. On a appris à avoir confiance en nous, ce qu’on n’avait pas forcément avant d’être accompagné.

                Comment la subvention obtenue au CLAP vous a aidé ou va vous aider?

Quentin : La subvention CLAP va nous permettre de faire le laboratoire pour qu’il soit aux normes d’hygiène : carrelage au mur et sol, pvc au plafond, ça coûte très cher. Et l’argent qu’il reste servira pour l’achat de pots ou d’un stérilisateur.

                Quel conseil donneriez-vous à quelqu’un qui veut se lancer ?

Quentin : De venir ici, à Entreprendre Ensemble, parce qui si une personne est perdue sur son projet, en venant ici, elle verra clair. Tout est tellement bien expliqué, les rendez-vous sont réguliers. Par exemple, on a demandé de l’aide à Hakim pour le logo, on est venu, on a passé trois heures mais on est ressorti avec un logo qui était bien. Donc si une personne a peur de se lancer, il faut qu’elle vienne ici et elle n’aura plus peur.

Charles : Un conseil que je pourrais donner c’est de ne pas baisser les bras. Il faut croire en soi et en son rêve et se dire que tout est possible si on est courageux et déterminé.

 

 

Quentin et Charles Totain ont intégré la GJ respectivement en janvier et février 2018, avec dans leur tête le projet de devenir "Confituriers" et de créer leur entreprise.

Quentin a d'ailleurs proposé aux jeunes de sa promotion et ses conseillers une présentation de ses propres productions en organisant pour la clôture du sas d'intégration un petit déjeuner dégustation.

La Garantie Jeunes a aidé ses jeunes à prendre confiance en eux, à croire en leur projet et à anticiper l'investissement financier que pourrait représenter une création de leur propre activité. Mis en relation avec le département Entrepreneuriat pendant leur accompagnement Garantie Jeunes pour avancer sur la concrétisation de leur projet, ils ont pour objectif de produire et vendre leurs confitures sur les marchés locaux et via internet, et la mise en place d'un service de livraison. Leur entreprise "Le grenier aux confitures" devrait voir le jour courant janvier 2019 et les commandes devraient être possibles début février.

L'accompagnement du département Entrepreneuriat d’Entreprendre Ensemble leur a également permis de passer devant la comission CLAP et d'obtenir une subvention pour lancer leur activité.

 

                Pouvez-vous nous expliquer votre projet ?

Charles : Notre projet est de faire une confiturerie artisanale. On veut vendre nos confitures sur les marchés et, d’ici trois ans, ouvrir une boutique en centre-ville de Dunkerque.

Quentin : On veut faire des confitures dans un laboratoire à la maison. On a remarqué que les gens aimaient de plus en plus le fait maison par rapport à l’industriel. Donc on a décidé de se lancer là-dedans et de faire nos confitures nous-même.

                Qu’est-ce qui vous a motivé à vous lancer ?

Quentin : Nos grands-parents et notre mère. Notre arrière-grand-mère a appris à notre grand-père comment faire des confitures. Et notre grand-père l’a appris à notre mère et à moi-même, il nous a transmis le savoir. Eux en faisaient pour le plaisir, pour nous c’est devenu un plaisir mais aussi l’envie d’en faire notre métier. Nos grands-parents sont décédés, donc c’est un hommage qu’on leur rend. C’est un héritage familial qu’on va garder et qu’on va continuer à perpétuer.

Charles : C’est par passion et par envie aussi de faire plaisir aux gens, et leur faire découvrir de nouvelles saveurs, parce que tout le monde ne mange pas de confiture artisanale.

                Pour vous, qu’est-ce que l’entrepreneuriat en 1 mot ?

Charles : Le courage.

Quentin : La détermination.

                Comment Entreprendre Ensemble vous a accompagné ?

Charles : Entreprendre Ensemble nous a très bien accompagnés. On a eu plusieurs rendez-vous, ils nous ont bien aidés, notamment faire le dossier CLAP puisqu’on est passé en commission CLAP. On a beaucoup appris sur nous, à se découvrir par rapport à l’entrepreneuriat, on est fait pour ça je pense.

Quentin : L’accompagnement d’Entreprendre Ensemble a été intensif. On a eu énormément de rendez-vous. On ne serait pas passé par Entreprendre Ensemble on n’en serait pas là. Le dossier à la CMA est déjà fait et prêt, mais rien ne serait encore fait si jamais nous n’étions pas passés par Entreprendre Ensemble. Ça a vraiment lancé le projet, il n’y a plus qu’à le concrétiser. On a appris à avoir confiance en nous, ce qu’on n’avait pas forcément avant d’être accompagné.

                Comment la subvention obtenue au CLAP vous a aidé ou va vous aider?

Quentin : La subvention CLAP va nous permettre de faire le laboratoire pour qu’il soit aux normes d’hygiène : carrelage au mur et sol, pvc au plafond, ça coûte très cher. Et l’argent qu’il reste servira pour l’achat de pots ou d’un stérilisateur.

                Quel conseil donneriez-vous à quelqu’un qui veut se lancer ?

Quentin : De venir ici, à Entreprendre Ensemble, parce qui si une personne est perdue sur son projet, en venant ici, elle verra clair. Tout est tellement bien expliqué, les rendez-vous sont réguliers. Par exemple, on a demandé de l’aide à Hakim pour le logo, on est venu, on a passé trois heures mais on est ressorti avec un logo qui était bien. Donc si une personne a peur de se lancer, il faut qu’elle vienne ici et elle n’aura plus peur.

Charles : Un conseil que je pourrais donner c’est de ne pas baisser les bras. Il faut croire en soi et en son rêve et se dire que tout est possible si on est courageux et déterminé.